Quand la confiance devient le meilleur rempart contre les cybermenaces
Créée en 2021, Terralpha, filiale de SNCF Réseau, rapproche l’Ultra Haut Débit des territoires français. Sa mission : garantir un transport de données fiable et sécurisé, un enjeu majeur pour une activité qui repose sur le flux constant d’informations sensibles. Pour accompagner le développement local des centres de données, Terralpha propose ses « Dalles Numériques », permettant aux équipements de stockage et de traitement d’être installés au plus près des utilisateurs. Dans ce contexte, la cybersécurité n’est pas une option : elle est au cœur de chaque opération, protégeant l’intégrité et la fiabilité du réseau.
Terralpha a très tôt compris que sa meilleure protection ne résidait pas uniquement dans la technologie, mais dans la mobilisation de ses collaborateurs.
Construire la confiance avant tout
“J’ai voulu implémenter une culture cyber proche de l’utilisateur. Je ne voulais pas imposer une méthode à mes collaborateurs et garder leur confiance.”
Chez Terralpha, la cybersécurité ne se pense pas comme une contrainte technique, mais comme une culture partagée. La priorité était claire : engager les collaborateurs sans les brusquer, en restant accessible et humain.
Rendre la vigilance simple et naturelle
Les formations descendantes et trop longues n’avaient plus leur place. Il fallait une approche fluide, engageante et légère, qui s’intègre facilement dans la routine de chacun. C’est là que Kamaé a trouvé sa place dans l’organisation de Terralpha.
Quand l’apprentissage devient un réflexe
Grâce aux formats courts, aux relances automatiques qui maintiennent l’élan sans effort supplémentaire et aux défis réguliers qui créent l’envie de progresser, Kamaé s’est bien intégré dans le plan de sensibilisation de Terralpha.
“Les collaborateurs ont vite adhéré à Kamaé. La qualité du contenu est bonne, ça ne prend pas beaucoup de temps.”
Un enthousiasme qui se propage
“Aujourd’hui, toute la société est onboardée et les équipes demandent plus de contenu pour progresser encore davantage.”
La cybersécurité n’est plus perçue comme une obligation, mais comme une curiosité partagée. L’intérêt grandit et l’engagement s’installe durablement.
Le déclic culturel
“Il y a un avant et un après Kamaé. Les collaborateurs ont plus tendance à signaler les mails ou comportements en dehors de l’habituel. On arrive à passer nos messages beaucoup plus facilement qu’avant.”
Ce changement d’attitude illustre une transformation plus large : les collaborateurs deviennent acteurs et la vigilance collective devient un réflexe.
Chez Terralpha, la cybersécurité n’est plus un discours technique imposé d’en haut. C’est une culture commune, construite pas à pas, dans la confiance et la proximité, et on est très heureux de les y accompagner !